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Fiche Document : EXTTEO 530 RUSHES - SERGE GAINSBOURG

 
 
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Type RUSH
Collection Théopresse
Documentaire
Durée 11:39:32
Coul. son Couleur  Sonore
Droits  Mat. Manquant
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Référence

EXTTEO 530 RUSHES

Titres

Titre :  SERGE GAINSBOURG

Dates

Prise de vue : 09/03/1998 à 26/03/1998

Résumé catalogue

22 cassettes de rushes (22x30') tournés pour un portrait de Serge Gainsbourg : interviews de ses amis, d'anonymes l'ayant cotoyé, de chanteurs, musiciens, auteurs compositeurs ayant travaillé avec lui...

Résumé descriptif

AST 158 K7 n° 1 : interview de L'ancien directeur du "Galant vert" (restaurant rue de Verneuil où Serge Gainsbourg avait l'habitude de déjeuner) 00:01:07:24 PM : mur de la maison de Serge Gainsbourg couvert de graffiti PM : ancien directeur du "Galant Vert" effectuant le chemin entre la maison de Serge Gainsbourg et le restaurant le "Galant vert" rue de Verneuil. PM : plaque "rue de Verneuil" PM / GP : inscriptions sur mur PM :plaque "No smoking" sur porte d'entrée de la maison 00: 18:41:00 tombe de Serge Gainsbourg couverte de fleurs, jeunes filles asiatiques déposant fleurs. Inscriptions sur pierre tombale : "Olga et Joseph Ginsburg" ; "Serge Gainsbourg 1928-1991" 00:20:37:05 interview de Jean-Pierre Cassel K7 n° 2 02:00:21:16 interview de Jacky dans les studios Ferber Jacky rencontre Serge Gainsbourg en 1973 alors qu'il travaille pour Philips, il devient par la suite son attaché de presse personnel jusqu'au début des années 80. Il évoque le professionnalisme de Serge Gainsbourg, son besoin de travailler dans le stress, sa façon de préparer très méticuleusement ses interviews et sa collaboration avec le groupe "Bijou" auprès duquel il retrouve la scène en 1978. Jacky décrit également quelqu'un d'excessif, très attaché à sa famille, généreux, extrêmement sensible, maniaque, timide, et révèle qu'il faisait souvent semblant d'être ivre. 02:24:04:13 ext studio Ferber. Jacky arrivant et présentant le studio "mythique" K7 n° 3 : 03:00:18:02 interview de Jean-William Thoury. Jean-William Thoury et Vincent Palmer au Petit Journal. Ils évoquent chacun leur tour leur rencontre avec Serge Gainsbourg qui eut lieu à l'occasion de la reprise de la chanson "Les papillons noirs" (Michèle Arnaud - Serge Gainsbourg). Tous deux évoquent les raisons de leur collaboration avec Serge gainsbourg, la façon dont celui-ci leur a proposé le titre original "Betty Jane Rose", et comment le groupe lui a fait retrouver la scène après 17 ans d'absence. Alors qu'à l'époque Bijou avait eu davantage l'impression de rendre service à Gainsbourg, l'inverse s'est produit, il représentait un critère de qualité et leur a donné une crédibilité. Jean-William Thoury parle du personnage un peu frimeur (aimait dire qu'il travaillait vite, qu'après lui le groupe avait été en difficulté...) mais également touchant, notamment au moment de la rupture avec Jane Birkin (période où son vécu se ressent davantage dans son oeuvre), de son professionnalisme, de sa capacité à se renouveler, à écouter le courant et à l'adapter à son style. 03:20:36:16 interview de Vincent Palmer Vincent Palmer estime que Serge Gainsbourg n'était pas vraiment un grand pianiste mais qu'il avait beaucoup d'idées artistiques, un style et un son impressionnants. AST 159 K7 n°4 : Jacky était l'attaché de presse de Serge Gainsbourg et de Bijou. Il organise leur rencontre à l'occasion de la reprise du titre "Les papillons noirs" (Michèle Arnaud - Serge Gainsbourg) par le groupe de rock et assiste à leur collaboration : Serge Gainsbourg écrira "Betty Jane Rose" pour le groupe et retrouvera la scène avec eux. Jacky nous présente ici deux des membres du groupe : Vincent Palmer (guitariste, compositeur) et Jean-William Thoury (producteur, parolier et arrangeur). 04:00:15:01 à 04:03:57:20 Jacky présente Vincent Palmer et Jean-William Thoury (plusieurs prises) dans la salle du Petit Journal. 00:00:00:00 Banc titre photo : serge Gainsbourg et Thierry le Luron 00:00:17:23 interview de Jean Vergnes dans la salle du Don Camilo. Jean Vergnes montant les escaliers (Int.) du Don Camilo. Jean Vergnes directeur du Don Camilo évoque les fréquentes visites de Serge Gainsbourg dont "la présence effaçait tout le monde". Il se souvient des relations de Serge Gainsbourg avec les policiers du quartier, d'un numéro "à poil" improvisé sur la scène du Don Camilo avec Jacques Dutronc, de son goût de la provocation, des Gitanes et de l'alcool et de son dégoût de la drogue . Il évoque Jane Birkin, Bambou, la très grande discrétion de Serge Gainsbourg concernant sa vie privée, son talent également en tant qu'homme d'affaires, son respect des personnes âgées et des personnes ayant un métier manuel et enfin, leur relation de voisinage. 00:16:40:14 PM : porte d'entrée maison de Serge Gainsbourg rue de Verneuil - PM : Jean Vergnes devant la porte - GP : graffiti - PM : Jean Vergnes effectuant trajet jusqu'au Don Camilo (enseigne, porte d'entrée). Jean Vergnes dans son jardin mitoyen avec celui de Serge Gainsbourg. 00:20:35:06 intérieur magasin vêtements dégriffés. GP : statuette représentant Serge Gainsbourg près de la caisse + main caissier (plusieurs prises). Interviews de vendeurs dans un magasin de vêtements où Serge Gainsbourg venait : en parlent comme quelqu'un de gentil, simple, drôle, discret et toujours souriant. K7 n° 5 : 06:00:17:12 Interview de Vittorio Perrotta, ami intime de Serge Gainsbourg. Il se souvient de leur première rencontre et raconte comment ils ne se sont plus quittés par la suite. Il évoque les preuves d'amitié de Serge qui lui avait décerné la "légion d'honneur de l'amitié" (rubis de chez Cartier), sa très grande générosité, l'importance qu'avait sa famille, son angoisse vis à vis de ses chansons, ses talents culinaires et enfin, son dégoût de la drogue. 06:25:24:10 interview de Pierre Grimblat dans son bureau Pierre Grimblat raconte comment il a rencontré Serge Gainsbourg lors de sorties nocturnes bien avant le tournage de "Slogan" et de leurs discussions autour de Pouchkine et des poètes russes. Il évoque ses talents de pianiste, de peintre et également culinaires. Il se souvient de la personnalité un peu snob de Serge Gainsbourg et de sa façon de s'habiller "un peu spéciale". 06:24:06:11 photos : Serge et Vittorio, Serge et son fils Lulu ; étiquette Pétrus dédicacée par Serge à Vittorio. 06:25:24:10 interview de Pierre Grimblat dans son bureau. K7 n° 6 : 07:00:17:00 interview de Pierre Grimblat Il évoque le projet de son film "Slogan" (pour lequel il a créé sa société "Hamster"), le choix des acteurs et de l'actrice Jane Birkin. Il raconte les débuts de la relation Jane Birkin - Serge Gainsbourg et la jalousie de celui-ci envers Alain Delon et Maurice Ronet sur le tournage de "La Piscine". Si Pierre Grimblat avait été heureux du travail de Serge dans "Slogan" il ne le considère néanmoins pas comme un acteur mais comme un personnage qui pouvait se jouer lui et ne le lui reconnaît pas un grand talent de réalisateur. Pierre Grimblat l'admirait mais ne l'aimait pas beaucoup, se souvient qu'il était drôle mais très souvent aux dépens de quelqu'un et lui trouvait un caractère atroce. Il parle avec émotion de la solitude et de la mort de Serge Gainsbourg. 07:20:49:21 photo : Serge Gainsbourg et Jane Birkin ; affiche de "Slogan" AST 160 K7 n° 7 : 07:00:16:21 Sacha Distel en studio devant console 07:02:51:19 interview de Sacha Distel en studio. GP : "Great jewish music : Serge Gainsbourg" (compilation éditée aux Etats Unis). Sacha Distel se souvient des trois années de collaboration de Serge Gainsbourg au "Sacha Show", que les textes qu'il écrivait pour les chansons de cette émission étaient rarement prêts au bon moment, et de la participation de Serge Gainsbourg à l'un de ces albums pour le titre "On n'est pas des grenouilles". Il évoque la rencontre de Serge Gainsbourg et de Brigitte Bardot lors d'un "Spécial Bardot" en 1967. Sacha Distel souligne le talent et l'érudition de Serge Gainsbourg, et enfin, son autodestruction (alcool et tabac associés à des problèmes cardiaques). 07:18:12:09 interview de Mc Solaar dans la rue. Mc Solaar se rappelle les premiers titres écoutés, ceux de la période reggae. Il qualifie le style de Serge Gainsbourg de "provocation timide" où jamais aucun mot ne choque, en apprécie le champ et le jeu lexical (ex : "La Javanaise", "Laetitia") qui le rapprochent de l'univers du rap. Mc Solaar évoque les reprises (dont la sienne de "Bonnie & Clyde" : "Le nouveau western"), traductions et la dimension internationale de l'oeuvre de Serge Gainsbourg qu'il regrette de ne pas avoir rencontré. K7 n° 8 et 9: PM : interview d'Etienne Daho sur une terrasse parisienne, toits de Paris en arrière-plan. 08:23:06:17 interview d'Etienne Daho Etienne Daho a rencontré Serge Gainsbourg à l'occasion d'une reprise de "Chez les Yéyés" qu'il devait faire pour l'émission "Les enfants du rock". Il se souvient de quelqu'un d'érudit, attentionné, solitaire, séducteur et du fait qu'il aimait faire des confidences en faisant croire qu'elles avaient un caractère unique. Il regrette de ne pas avoir eu de collaboration artistique avec Serge Gainsbourg, apprécie particulièrement "Melody Nelson", le début de sa carrière jusqu'à "L'homme à la tête de choux", trouve un caractère autobiographique aux albums écrits pour Jane Birkin et le film "Je t'aime moi non plus" l'a beaucoup marqué. Etienne Daho parle également d'un personnage romantique et d'une autodestruction créatrice. Il évoque Serge Gainsbourg comme extrêmement sensible, qui avait besoin d'une grande reconnaissance : il la trouve avec "Aux armes et caetera"et sa période reggae qui lui permet alors d'atteindre toutes les générations. K7 n° 9 : Tournage au Raphaël où Serge Gainsbourg a séjourné à la fin de sa vie et interview du barman qui évoque les habitudes de Serge Gainsbourg dans l'établissement : il écrivait, travaillait au bar où il trouvait le calme. Son cocktail préféré était le Daïkiri qu'il savait également très bien préparé. 08:24:14:21 GP : champagne versé dans flûtes 08:26:01:00 salle de réception - DGP : invités 08:30:29:05 Entrée du Raphaël - Groom - salon - bar (plusieurs prises du parcours) 08:32:51:23 interview du barman du Raphaël - GP : préparation Daïkiri au shaker, main barman servant cocktail "à la santé de Monsieur Gainsbourg" AST 161 K7 n° 10 : Tournage au bar du Raphaël puis sur la terrasse de l'hôtel. 10:00:10:23 PL : Barman derrière le bar, rangeant, prise de vue à travers fenêtre - PL : plan ext du Raphaël, entrée. 10:01:23:11 terrasse du Raphaël 10:01:56:13 banc titre : photos de Jane Birkin et de serge Gainsbourg + photos films 10:12:54:04 interview de Francis Huster, commentaire sur Coupe de France de football : "pense que Lyon va aller en finale" 11:00:09:03 Interview de Francis Huster Francis Huster raconte le tournage d'"Equateur" sur lequel il rencontre Serge Gainsbourg qu'il évoque comme un réalisateur "génial", ayant une écriture très précise avec la caméra, un amour de l'instant et qui aurait dû commencer cette carrière à vingt ans. Il estime également que Serge Gainsbourg a été trop peu et mal employé en tant qu'acteur. Enfin, il évoque Serge Gainsbourg comme très sensible, gentil, humain, ne disant jamais de mal des autres, grand séducteur, méticuleux, très élégant. Francis Huster choisit deux grands artistes du XXème siècle : Charles Trénet symboliserait "le jour" et Serge Gainsbourg "la nuit". K7 n° 11 : Suite et fin de l'interview de Francis Huster qui évoque la sonorité des mots dans l'oeuvre de Serge Gainsbourg. 11:02:46:20 PM : porte Hôtel de Crillon - Ext entrée - Hall, lustres 11:04:02:24 interview de Pierre Delanoë Pierre Delanoë parle de sa première rencontre avec Serge Gainsbourg dans les coulisses de l'Olympia à l'occasion d'un concert de Gilbert Bécaud. Il le connaîtra davantage lorsque Serge lui demandera de diffuser "Melody Nelson" sur Europe 1. Il dit de lui qu'il était extrêmement professionnel ou bien qu'il faisait semblant de ne pas l'être, l'associe à Claude Nougaro pour la qualité des jeux de mots et apprécie particulièrement "La Javanaise", "Bubble Gum" ou encore "Le Poinçonneur des Lilas" contrairement à "Aux Armes et caetera" ou bien "Mon Légionnaire". 11:14:09:22 interview de Philippe Clay Philippe Clay évoque sa première rencontre avec Serge Gainsbourg au cabaret "Milord l'Arsouille" où Serge se produisait. Il reconstitue leur dialogue en imitant Serge très peu loquace. Il évoque leur amitié, les parents de Serge, des week end passés à la campagne en compagnie de Claude Nougaro et Jean-Roger Cossimon et enfin de leur ressemblance physique et des conquêtes féminines. 12:00:29:16 interview de Philippe Clay K7 n° 12 : 12:08:16:04 Philippe Clay entre et est accueilli dans restaurant où il est interviewé (plusieurs prises) Suite et fin de l'interview de Philippe Clay. Il raconte des anecdotes au sujet de Serge Gainsbourg, parle de "Gainsbarre" qui était une forme de protection pour Gainsbourg et enfin de la rencontre et de l'influence de Boris Vian dans l'oeuvre de Serge Gainsbourg. 12:08:54:16 début interview - Erreur du journaliste qui demande à Bambou "ce qui la rapprochait de Montand" - Rires Interview de Bambou, la dernière compagne de Serge Gainsbourg. Elle évoque leur rencontre, leur sept années de vie commune rue de Verneuil, la naissance de leur fils, et de la maison où Serge l'avait installée avec Lulu. Elle parle de "Gainsbarre", personnage que Serge se crée après le départ de Jane, dit de Serge que s'il avait une attitude suicidaire, il espérait également voir Lulu à vingt ans. Elle révèle qu'il souhaitait revenir à la peinture à la fin de sa vie, dit combien il était exigeant lors des enregistrements et comment il travaillait dans l'urgence. Elle raconte leur dernière soirée en compagnie Charlotte la veille de la mort de Serge. K7 n° 13 : 12:36:08:19 interview de Bambou dans sa maison du XIIIème arrondissement Bambou parle de la façon de travailler de Serge Gainsbourg, de l'importance du souvenir de son père pour Lulu, dit combien il est difficile de faire le deuil de quelqu'un d'omniprésent (télé, radio...). 12:43:56:01 photos 12:48:45:12 Extérieur maison - cour intérieure 12:49:24:06 vue sur cour, Bambou s'asseyant 12:50:05:12 interview d'Alain Chamfort derrière piano Alain Chamfort raconte comment et pourquoi il a fait appel à Serge Gainsbourg pour l'écriture des textes de son album "Rock'n Rose". AST 162 K7 n°14 : 13:10:36:06 PM/GP : Alain Chamfort au piano, chantonnant - Interview Alain Chamfort évoque l'écriture de "Manureva" par Serge Gainsbourg puis une troisième et dernière collaboration beaucoup moins réussie. Il décrit Serge Gainsbourg comme un grand séducteur, ce qui pouvait se révéler un peu décevant à des moments qui semblaient privilégiés. 13:31:53:10 GP : mains Alain Chamfort au piano - PM : Alain Chamfort jouant, chantonnant 13:33:51:15 photo : Serge Gainsbourg et Alain Chamfort K7 n° 15 : 13:45:24:22 PM : interview d'Hugues Aufray dans la salle de restaurant de la Coupole Il y rencontra pour la première fois Serge Gainsbourg en 1958 après avoir gagné un concours de chant avec l'une de ses chansons. Hugues Aufray raconte les circonstances de la découverte des chansons de Serge Gainsbourg, leur rencontre, ce qui pouvait les rapprocher et leurs divergences. Il évoque la période déterminante du reggae dans la carrière de Serge Gainsbourg et son talent pour s'entourer de grands musiciens. 13:51:11:14 Restaurant de la Coupole, DPM : sculpture, tableaux - caissier 13:52:49:09 interview de Jane Birkin chez elle - GP : textes manuscrits sous verre Jane Birkin évoque sa rencontre avec Serge Gainsbourg lors des essais pour le film "Slogan" (Pierre Grimblat). Elle décrit Serge Gainsbourg comme à la fois très sophistiqué, dandy, enfant, amoureux de la France et de la langue française. Elle parle de sa façon de travailler et dit qu'il a sublimé leur relation à travers ses chansons. 13:54:06:03 interview de Jane Birkin - GP : sa chienne AST 163 K7 n° 16 : 14:22:10:19 interview de Jane Birkin Suite et fin de l'interview de Jane Birkin au sujet de Serge Gainsbourg. Elle parle d'une personne très pudique qui pour certaines chansons avait besoin d'une autre voix pour préserver sa pudeur à lui, même avec ses enfants s'il savait être un papa clown il leur exprimait ses sentiments à travers un film ou une chanson. Après leur séparation chacun avait gardé sa place à côté de l'autre. Jane Birkin n'a pas compris ni aimé le personnage de "Gainsbarre" qui apparaît à ce moment là. En ce qui concerne son absence de carrière internationale, il avait fini par penser que ses paroles étaient trop difficiles à traduire et se satisfaisait du succès de "Je t'aime moi non plus". Enfin, elle estime que son grand besoin d'amour et sa grande solitude, surtout nocturne, pouvait expliquer qu'il parle facilement aux inconnus ou aux policiers. 14:53:47:16 photo de Charlotte et Serge (magazine) - dessins K7 n° 17 : Marc Meneau parle de Serge Gainsbourg qui avait fait des séjours prolongés dans son établissement l' "Hôtel de L'Espérance" à St Père en Vézelay. D'autres personnes l'ayant rencontré à cette occasion témoignent. Tous l'évoquent comme quelqu'un de simple, gentil et organisé. K7 n° 18 : Suite des témoignages des personnes ayant rencontré Serge Gainsbourg à Saint Père en Vézelay. K7 n° 18 et 19 : 01:08:51:15 interview de Michel Drucker Il évoque ses premières rencontres avec Serge Gainsbourg (alors pianiste de Michèle Arnaud) ainsi que la rencontre du chanteur avec Withney Houston lors d'une émission animée par Michel Drucker. Evoque Serge Gainsbourg comme quelqu'un l'ayant beaucoup impressionné, un surdoué (peinture, cinéma, musique) qui faisait déjà la couverture de "Salut les copains" en 1962-1963. 01:19:30:16 Françoise Hardy se décoiffe "aime être ébouriffée", rit, arrange son pendentif. Interview. Françoise Hardy parle des chansons que Serge Gainsbourg lui a écrites : "Comment te dire adieu", "L'Anamour", "L'Amour en privé", "Ces petits riens". Elle le rencontre au début de sa liaison avec Jane Birkin alors en tournage sur le film "La Piscine" et se souvient que Serge était alors jaloux d'Alain Delon. Elle parle de l'écriture de Serge Gainsbourg, du fait qu'il aimait se confier, qu'il était maniaque, de sa vulnérabilité et sensibilité que l'alcool exacerbait et raconte des anecdotes sur Jacques Dutronc et Serge Gainsbourg. Elle se souvient surtout de la générosité de Serge envers son fils Thomas, estime que Serge était un précurseur et un génie. AST 164 K7 n° 20 : 01:44:10:08 PM : Françoise Hardy 01:46:07:06 PM : Claude Berri dans son bureau Claude Berri parle du tournage de "Stan le Flasher" (dont il était l'acteur principal), du manque de reconnaissance cinématographique dont Serge Gainsbourg avait pu souffrir, de la part d'histoire, de cinéma dans ses chansons et enfin, de la mort de Serge Gainsbourg. François Ravard évoque également le tournage de "Stan le Flasher" dont il est le producteur : le choix de l'actrice, Elodie Bouchez, par Serge Gainsbourg, comment celui-ci s'entendait et était respectueux de tous les techniciens et son souci de respecter le budget. Il parle également du Serge Gainsbourg précurseur en musique et peut-être au cinéma et du ressentiment qu'il pouvait éprouver devant l'insuccès de ses films. 00:03:49:20 François Ravard à son bureau K7 n° 21 : 00:20:51:24 suite interview de François Ravard Il qualifie Serge Gainsbourg d'"ami remarquable" et dont il évoque la scénographie. 00:24:48:04 banc titre photos, affiche de "Stan the flasher" 00:25:43:21 François Ravard montre des papiers manuscrits de "Stan the Flasher" 00:26:15:21 interview de Jean-Louis Aubert Jean-Louis Aubert raconte comment il a rencontré Serge Gainsbourg au cours de sorties nocturnes à l'Elysée Matignon. Il évoque leurs longues conversations tardives, le goût de Serge pour les jeux de mots, sa grande culture musicale et son professionnalisme. Jean-Louis Aubert le décrit comme étant à la fois timide, poli, généreux, enfant et très noble tel un dandy du XIXème siècle. K7 n° 22 : 00:55:24:21 interview de Jean-Louis Aubert Suite de l'interview de Jean-Louis Aubert qui évoque la période de séparation de Jane Birkin et de Serge Gainsbourg et l'influence sur l'oeuvre de celui-ci. Il évoque également les relations de Serge Gainsbourg avec les femmes, il estime qu'il les comprenait bien, qu'il était très féminin, avait une certaine beauté physique et qu'il aimait découvrir les gens au-delà de leurs apparences. AST 165 01:04:21:09 interview de Jean-Paul Belmondo. GP : son yorkshire sur banquette. Jean-Paul Belmondo évoque Serge Gainsbourg qui était à la fois son ami et son voisin. Il décrit Serge Gainsbourg comme étant très sensible, timide, nostalgique, extrêmement généreux, courageux et honnête. Il se souvient de sa solitude à la fin de sa vie.

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